mercredi 15 janvier 2014

ce n'est pas nous qui le disons

L'adjointe aux sports n'apprécie pas notre publication: elle a rédigé un éditorial du sathonard de janvier qui ne laisse pas de doute sur le sujet. Elle en a le droit.
Mais elle devrait aussi se donner le devoir de vérité et là ce n'est plus le même tabac.
A lire son article, il semble que le parc du haut de la combe était un terrain vague avant l'installation des tennis. Sauf que le site comportait bien un terrain de football, des terrains de volley, des tables de ping-pong, le tout en libre accès pour tout le monde. et que l'essentiel de la surface la plus accessible est aujourd'hui bétonnée et ceinturée de clôture avec accès réservé aux membres du club de tennis. Alors soit l'adjointe ne connait pas la commune soit elle fait preuve de mauvaise foi. Nous opterons plutôt pour la seconde hypothèse car elle en rajoute en prétendant que ces installations ne pénalisent pas les finances publiques. Elle devrait se pencher sur le budget de la commune pour réviser rapidement son jugement.
Reste les "transferts" d'espaces verts privatisés du parc du haut de la combe qui, selon elle, sont compensés par la création de 5 hectares "gratuits" dans la ZAC. Entre une pelouse aux ébats sacrifiée et des trottoirs plus ou moins arborés la différence est flagrante pour qui s'occupe de jeunes enfants. Sans compter que des 5 hectares "gratuits" ne le seront plus quand il faudra les faire entretenir par le personnel communal.