lundi 30 septembre 2013

Tennis -suite et pas forcément fin

Un article paru au Progrès le 27 septembre fait un compte-rendu des échanges entre la majorité fidèle au maire et les conseillers qui s'en sont désolidarisés à propos de la réalisation des tennis sur le parc du haut de la combe.

Nous ne pouvons qu'être satisfaits que ces derniers rejoignent le point de vue que nous défendons ici depuis l'engagement de ces travaux pour un ensemble mal ficelé, cher et qui réduit considérablement les espaces verts accessibles à la population. C'est très dommage à la fois pour le club de tennis qui devra organiser ses activités pendant longtemps avec des infrastructures mal conçues et pour les sathonards qui les payeront cher et devront faire avec l'espace restant pour leurs loisirs.

Mais ce qui motive surtout ce nouveau billet concerne l'intervention de madame Fontaine telle qu'elle est présentée dans l'article du Progrès et qui ne reflète pas la réalité des propos tenus: elle a en fait admis que notre remarque concernant le budget municipal dans notre article du 01-08 était exacte et que la vente de l'ancienne gendarmerie ne pouvait être une compensation des dépenses engagées pour les tennis. Même si Bernard Dupont, adjoint au finances, continue d'insister sur le sujet...

 Notre titre de "présentation municipale biaisée" garde tout son sens. Et il peut encore s'accorder avec la prétendue obligation de réaliser ces tennis sur ce site pour ne pas risquer de voir l'ex-propriétaire réclamer la restitution de l'ancienne carrière: l'existence d'équipements publics à utilisation sportive ( terrain de foot, de volley, de basket et tables de ping-pong ) permettait largement de faire la preuve que le contrat était rempli.

Jusqu'à présent c'était surtout l'impréparation des projets qui était dommageable. 

A cela s'ajoute maintenant la mauvaise foi.